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La dynamique commerciale reste soutenue en bovins de boucherie

Les industriels qui sont toujours dans la préparation de la rentrée, restent confrontés à un fort déficit de l’offre. Face à la grande fermeté des prix, les éleveurs repoussent leurs ventes, et les travaux d’ensilages limitent leurs disponibilités pour vendre leurs animaux.

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La concurrence entre les négociants est très forte dans les campagnes. Une grande majorité des vaches prim’holsteins sont vendues au-dessus de 6 €, avec des P+/O– négociées entre 6,15 et 6,25 € dans les abattoirs.

Pour les races à viande, l’offre reste insuffisante pour couvrir la demande, notamment dans le centre du pays avec des tarifs qui ont été très soutenus en fin de semaine sur Saint-Christophe-en-Brionnais. Les charolaises R de moins de six ans y sont négociées autour de 6,85 €.

Cet après-midi sur le marché de Cholet, le commerce reste très fluide avec de nouvelles hausses des prix. La demande est toujours soutenue dans le domaine des femelles de qualité bouchère face à une offre modeste. Les bonnes femelles de qualité bouchère demeurent bien valorisées, avec des blondes d’Aquitaine ou des limousines U vendues entre 7,20 et 7,50 €. Les parthenaises de cheville tiennent le haut du panier avec des tarifs compris entre 7,50 et 8,00 €. La vente est active avec des tarifs qui restent fermes pour les bonnes génisses et jeunes vaches charolaises. Les vaches U sont négociées de 6,85 à 7,00 €. Les R= sont vendues à 6,85 € en moyenne.

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